Il la regarda, posa sa main sur sa hanche et plongea son regard dans le sien. De ses lèvres entre-ouvertes, il aspirait chaque souffle d’air qu’elle expirait. Les yeux de mathilde brillait et tandis qu’il posait son autre main sur sa joue, elle sentit son corps tressaillir. Il était grand, brunc, et il sentait la fermeté et la protection, de ces parfum qu’aucun flacon ne pôurrait reproduire. Jean sourrit.
Mathilde n’avait jamais accordé autant de confiance à quelqu’un. Jamais quelqu’un avant Jean n’avait pu l’approcher d’aussi près. Elle pouvait presque le toucher, sa bouche n’aurait qu’à s’avancer et se porter à ses lèvres. Ils se mêleraient ainsi à une danse séductrice, les emportant plus loin qu’ils ne pourraient le controler, car l’amour est un fleuve qui vous emporte jusqu’au bout de la nuit. Plongeant regard dans la vision, leurs mains se lieraient, leurs caresses se feraient plus longue, plus sensuelle. Ils continueraient de s’embrasser sans se soucier du temps et du lieu, car l’endroit n’avait plus d’importance, il n’y a d’important que celui qui sera votre compagnon de voyage.
S’envolant vers des contrées verdoyante, il commencerait à changer d’air, à aspirer au plaisir. Il plongerait sa main plus bas sur le torse de Mathilde, et tandis que la chaleur s’emparerait d’elle, il en profiterait pour la caresser plus fermement. Elle crierait surement son nom, mais le qui n’aurait plus d’importance. L’amour vous ôtes l’identité tandis que votre présence s’empare de l’autre.